Témoignage de Jose Eduardo, du Mexique

Témoignage de José Eduardo sur le père Philippe

(traduction)

Mon expérience du père Marie-Dominique Philippe est difficile à expliquer puisqu’il transmettait un sentiment de paix et d’harmonie avec le Seigneur, ce qui peut difficilement s’expliquer par des mots.

Je l’ai connu à Monterrey Nuevo León, au Mexique, lors d’une retraite qu’il donnait dans les années ’90, et sa parole et sa sagesse de la parole de Dieu m’ont touché au point que cela a transformé ma vie. A ce moment-là j’ai décidé un changement radical dans ma vie pour suivre le Seigneur et ses enseignements ; et je le suis encore, depuis plus de 20 ans, bien sûr avec des hauts et des bas mais avec constance. A mon avis, cela m’a été possible premièrement grâce au Seigneur, mais aussi avec l’appui des prêtres de la Communauté Saint-Jean fondée par le père Philippe. Cela montre les fruits portés par le père Philippe.

Je l’ai vu en diverses occasions, chaque fois qu’il est venu au Mexique après cette année-là. Mais j’ai aussi eu l’opportunité d’être avec le père Philippe pour la Journée Mondiale de la Jeunesse en France, où j’ai assisté à divers événements auxquels il était présent. Son message irradiait toujours sa foi forte et son espérance dans le Seigneur, sans parler de l’amour avec lequel amour il se livrait à son ministère sans tenir compte des difficultés de son âge à la fin de sa vie.

Il y a aussi la pauvreté et la simplicité avec lesquelles il aimait qu’on le reçoive au prieuré de Saltillo (où j’ai le plus eu l’occasion de le voir) mais il en était de même à Monterrey et où qu’il soit. Je n’ai jamais eu connaissance d’une insolence orgueilleuse de sa part. Il était toujours en disposition et en position d’écoute envers tous. Il n’avait jamais de geste qui interrompait sa paix et son harmonie dans son lien avec Jésus ; il était toujours paisible et patient malgré le fait que, selon mon opinion, vu tout ce qui se passe dans le monde, il aurait pu avoir des attitudes différentes.

En plus, j’ai eu l’opportunité de voir la transformation de la vie de beaucoup de monde grâce à lui ou à son labeur à travers la communauté dont les fruits sautent aux yeux.

Enfin, on pourrait parler et écrire beaucoup sur le père Philippe, mais vu l’urgence des choses, je m’arrête là ; en ce qui me concerne, ce qui m’a le plus impressionné chez le père Philippe, c’est toute sa personne : paix, patience, amour, harmonie, sagesse, simplicité, cohérence totale entre ce qu’il prêchait et ce qu’il vivait.

Salutations

José Eduardo